Nous étudions la machinerie cellulaire sous-jacent à la synthèse et l’assemblage des polymères de la paroi végétale, en particulier les microfibrilles de cellulose et les pectines. Ces dernières sont des polymères dont la distribution des charges est régulée enzymatiquement dans la paroi et qui contrôlent des changements dans l’hydratation et la rhéologie de la paroi au cours de la croissance cellulaire. Enfin, nous étudions des mécanismes de rétroaction contrôlant l’intégrité de la paroi en croissance.
Nos recherchent illustrent comment 500 millions d’années d’évolution ont perfectionné les assemblages des polymères, qui souvent montrent des propriétés émergentes remarquables. Pour comprendre la relation structure-fonction des polymères de la paroi cellulaire, nous utilisons une approche multidisciplinaire impliquant la génétique moléculaire, la biologie cellulaire, la mécanique et la physique des polymères. Les connaissances sur l'assemblage des polymères de la paroi cellulaire ne sont pas seulement pertinentes pour la compréhension et la modélisation prédictive de la croissance et de la morphogenèse des plantes, mais aussi pour l'utilisation de la biomasse lignocellulosique comme source d'inspiration pour la conception de nouveaux nanomatériaux. Pour plus de détails, visitez la page web de l'équipe "Primary Cell Wall".
Un autre domaine d'intérêt est de savoir comment utiliser nos connaissances sur les parois cellulaires végétales pour contribuer à l'émergence d'une bioéconomie basée sur des ressources renouvelables. Dans ce contexte, notre objectif est de contribuer au développement de matières premières lignocellulosiques durables. Les graminées pérennes telles que le miscanthus sont des cultures idéales pour la production de biomasse en raison de leur rendement élevé et de leur faible empreinte environnementale. Au cours des huit dernières années, j'ai coordonné le projet « Investissements d'Avenir » : « Biomasse pour le futur ». Un projet multidisciplinaire et multisectoriel visant à développer de nouvelles variétés de sorgho et de miscanthus mais aussi à contribuer au développement de nouvelles chaînes de valeur locales pour la bioénergie et les matériaux (https://www6.inrae.fr/biomassforthefuture/).
Nos recherchent illustrent comment 500 millions d’années d’évolution ont perfectionné les assemblages des polymères, qui souvent montrent des propriétés émergentes remarquables. Pour comprendre la relation structure-fonction des polymères de la paroi cellulaire, nous utilisons une approche multidisciplinaire impliquant la génétique moléculaire, la biologie cellulaire, la mécanique et la physique des polymères. Les connaissances sur l'assemblage des polymères de la paroi cellulaire ne sont pas seulement pertinentes pour la compréhension et la modélisation prédictive de la croissance et de la morphogenèse des plantes, mais aussi pour l'utilisation de la biomasse lignocellulosique comme source d'inspiration pour la conception de nouveaux nanomatériaux. Pour plus de détails, visitez la page web de l'équipe "Primary Cell Wall".
Un autre domaine d'intérêt est de savoir comment utiliser nos connaissances sur les parois cellulaires végétales pour contribuer à l'émergence d'une bioéconomie basée sur des ressources renouvelables. Dans ce contexte, notre objectif est de contribuer au développement de matières premières lignocellulosiques durables. Les graminées pérennes telles que le miscanthus sont des cultures idéales pour la production de biomasse en raison de leur rendement élevé et de leur faible empreinte environnementale. Au cours des huit dernières années, j'ai coordonné le projet « Investissements d'Avenir » : « Biomasse pour le futur ». Un projet multidisciplinaire et multisectoriel visant à développer de nouvelles variétés de sorgho et de miscanthus mais aussi à contribuer au développement de nouvelles chaînes de valeur locales pour la bioénergie et les matériaux (https://www6.inrae.fr/biomassforthefuture/).
