L’équipe NPI étudie les maladies provoquées par des agents pathogènes nécrotrophes. Nous étudions la virulence des agents pathogènes et la défense des plantes ainsi que l’impact de la nutrition azotée sur ces mécanismes.
Nos modèles d’étude sont le champignon Botrytis cinerea, responsable de la pourriture grise, la bactérie Erwinia amylovora, responsable du feu bactérien, la plante modèle Arabidopsis thaliana, la tomate, la betterave, la vigne et le pommier.
Question biologique
Notre équipe est spécialisée dans l’étude des interactions entre les plantes et les micro-organismes pathogènes. Nous cherchons à comprendre les mécanismes qui permettent aux agents pathogènes d’attaquer les plantes et comment les plantes peuvent se défendre. Plus spécifiquement, nous cherchons à identifier et caractériser les gènes qui sont responsables de ces mécanismes : production des facteurs de virulence de l’agent pathogène et des métabolites de défense de la plante. De plus, nous nous intéressons à l’impact de la nutrition azotée de la plante sur ces processus.
Question biologique
Notre équipe est spécialisée dans l’étude des interactions entre les plantes et les micro-organismes pathogènes. Nous cherchons à comprendre les mécanismes qui permettent aux agents pathogènes d’attaquer les plantes et comment les plantes peuvent se défendre. Plus spécifiquement, nous cherchons à identifier et caractériser les gènes qui sont responsables de ces mécanismes : production des facteurs de virulence de l’agent pathogène et des métabolites de défense de la plante. De plus, nous nous intéressons à l’impact de la nutrition azotée de la plante sur ces processus.
Modèles, outils et méthodes
Une grande partie de nos travaux est réalisée sur la plante modèle Arabidopsis thaliana mais nous travaillons également sur des plantes d’intérêt agronomique comme la tomate, la vigne, le pommier et la betterave. Pour mener à bien nos travaux de recherche, nous combinons des approches de génétique moléculaire, de transcriptomique, de métabolomique, de génétique quantitative et d’édition de génome à la fois chez l’agent pathogène et chez la plante.
Une grande partie de nos travaux est réalisée sur la plante modèle Arabidopsis thaliana mais nous travaillons également sur des plantes d’intérêt agronomique comme la tomate, la vigne, le pommier et la betterave. Pour mener à bien nos travaux de recherche, nous combinons des approches de génétique moléculaire, de transcriptomique, de métabolomique, de génétique quantitative et d’édition de génome à la fois chez l’agent pathogène et chez la plante.
Enjeux économiques et sociétaux
Les agents pathogènes fongiques et bactériens sont responsables de pertes économiques considérables chez les plantes cultivées. C’est d’autant plus vrai pour les agents pathogènes que nous étudions, contre lesquels il n’existe généralement pas de résistance majeure chez les plantes. De plus, les nouvelles directives qui contraignent les agriculteurs à diminuer l’utilisation des intrants (plan Ecophyto 2025) risque d’augmenter l’incidence de certaines maladies. La compréhension des mécanismes mis en jeu permettra de proposer des solutions alternatives de protection des plantes respectueuses de l’environnement, comme des solutions de biocontrôle.
Les agents pathogènes fongiques et bactériens sont responsables de pertes économiques considérables chez les plantes cultivées. C’est d’autant plus vrai pour les agents pathogènes que nous étudions, contre lesquels il n’existe généralement pas de résistance majeure chez les plantes. De plus, les nouvelles directives qui contraignent les agriculteurs à diminuer l’utilisation des intrants (plan Ecophyto 2025) risque d’augmenter l’incidence de certaines maladies. La compréhension des mécanismes mis en jeu permettra de proposer des solutions alternatives de protection des plantes respectueuses de l’environnement, comme des solutions de biocontrôle.
Responsable :
Mathilde Fagard