Généticienne moléculaire de formation, j’ai réalisé ma thèse sur la paroi végétale et mon post-doctorat en épigénétique. Je travaille actuellement sur l’impact de la nutrition azotée sur les interactions plantes-bioagresseurs.
Je m’intéresse à l’impact de la nutrition azotée des plantes sur les interactions plantes-pathogènes. Plus particulièrement à l’impact du métabolisme de la plante sur sa capacité à mettre en place ses défenses et sur la capacité d’un agent pathogène à attaquer une plante. Nous utilisons des techniques de génétique moléculaire, d’édition du génome, de métabolomique et de transcriptomique. L’enjeu sociétal est de comprendre comment les pratiques culturales affectent la sensibilité des plantes ainsi que l’efficacité des traitements