Offre d'emploi Ingénieur.e d’Études

Objectif du projet
Étudier l'impact de l'acclimatation aux stress pédoclimatiques et de la germination sur la composition et la qualité nutritionnelle des protéines des graines de Camelina sativa.
Face au réchauffement climatique et à la croissance démographique, l'adaptation des systèmes alimentaires est cruciale. Pour répondre à ces problématiques, nous proposons d’évaluer les opportunités d’utilisation des graines de cameline pour promouvoir une alimentation saine, durable et traçable. Le projet permettra de proposer des stratégies pour améliorer la résilience des plantes de cameline, optimiser la composition des graines (protéines, métabolites, huile), exploiter des graines germées et fournir des données pour l'identification de gènes d'intérêt en lien avec la qualité des protéines et de voies métaboliques clés associées à la qualité nutritionnelle des graines.

Environment
L’IJPB, INRAE, Versailles, offre un écosystème de recherche unique en biologie végétale et les collaborations interdisciplinaires entre les équipes et les plateformes y sont importantes. L'IJPB à six plateformes avec des agents dédiés et possède des équipements de pointe pour la biologie moléculaire, la biochimie et la métabolomique (UPLC-MSMS, GC-MS, RMN), la microscopie et la bioinformatique. L’ingénieur.e d'études sera intégré.e aux équipes "Graine - Développement, Régulation et Métabolisme" SEED-DREAM et "Physiologie de la germination" PHYGERM, où il/elle bénéficiera de l'expertise scientifique pour étudier la régulation du développement des graines, la germination et le métabolisme.

Profil recherché
Nous recherchons une personne enthousiaste et motivée ayant un intérêt pour la compréhension du métabolisme des plantes, des graines/semences et par des approches de physiologie, biochimie, et/ou métabolomique. La capacité à travailler en équipe est essentielle. Un niveau Bac+5 en biochimie / chimie / biotechnologies ou dans des disciplines connexes est requis. Une connaissance préalable des techniques multiomiques et des compétences en analyse statistiques est un plus.


Une recherche développée à l’Institut Jean-Pierre Bourgin - Sciences du Végétal.